L’absence d’interprètes caractérise une atteinte aux droits du patient non francophone.
Dans ce cas d’espèce, la Cour d’appel de Paris considère que « fait nécessairement grief au patient » le fait qu’il n’ait pas pu bénéficier « d’un interprète dès le début de son hospitalisation, cette formalité étant essentielle au regard des libertés individuelles ».