« La politique nationale en matière de santé au travail n’est pas visible parce qu’elle n’est pas portée politiquement de façon forte, interministérielle, dans la continuité et la durée ». Ce rapport note que le lancement du troisième plan de santé au travail « reste un exercice très discret » dans son lancement national et sa déclinaison territoriale. Ainsi, il est proposé un scénario pour « un système d’acteurs et une gouvernance refondés », basé sur 16 recommandations, dont la conduite d’une réflexion pour l'amélioration de la santé et de la qualité de vie au travail dans la fonction publique.